.: Ai-je dit que c'était... :.

Aai-je dit que c'était une promenade pour des loup-garous?
Extrait des « Parchemins Perdus »
Sujet privé pour Rebecca C. Andrews

Un soir de Mai
Ceux qui errent ne sont pas toujours perdus

Dix heures du soir, si ce n’était pas onze heures, la lune bien ronde en ce soir de printemps est bien haute dans le ciel. Depuis déjà environ quinze minutes, bien j'ai l'impression qu'il s'est écroulé une demi heure depuis mon arrivé, moi, Alex, j'attends celle que j'appelle mon amie. Mon amie! Quel mot ! Je devrais plutôt dire que c’est ma copine. Depuis le temps que je l'aime, me voilà maintenant avec elle. Ma famille rit bien de moi avec cette histoire mais les élèves eux... Certains disent qu’ont la déjà fait dans la cabane hurlante. Mais cela reste à prouver. Je l’aime, c'est certain, mais en tirant un immense plaisir à ne pas aller trop vite. Faut quand même pas oublier que c'est ma première copine. En même temps, je trouve que ça rajoute du piquant dans notre relation. Bah ! C’est vrai ! Rebb à eu trois autres copains et moi, c'est la première. Je dois avouer que j'ai eu plusieurs aventures d'un soir cette année... C'était avant de connaître le belle brune!

Du moins, je me trouve à l’orée de la forêt, car elle souhaitait démystifier le mystère des cris dans la nuit. Je ne suis pas venu jusqu'ici, en pleine nuit de lune ronde pour m'amuser, j'ai envie de découvrir d'où viennent ses cris avec l'aide de Rebecca. Pourquoi? Simplement parce que Nate et Théo avaient trop la frousse pour m'accompagner. Après ils disent qu'il sont des gars! Des trouillards, oui... En marchant dans les couloirs hier, j'ai entendut des gryffondors dirent que c'étaient des loup-garous. Des loup-garous, à Poudlard! Ils se foutent de ma gueule ou quoi? Je parie que se sont des élèves. Je vous le jure, je vais bien rire en le disant aux autres demain. Pour détruire un réputation de farceur c'est l'idéal. Des faux loup-garous! De quoi pour détruire une réputation d'a plomb... Du moins, je suis la dehors à patienter... Euh... Pour être honnête, je ne patiente pas du tout, je suis même très impatient. Il fait froid se soir, le vent glacé me fouette le visage et moi, debout près de la forêt, j'attend Rebecca...

C’est alors que je vois une petite lumière arriver. Enfin, Rebecca arrive. Durant l’heure du souper je lui ai soufflé mot de venir le rejoindre vers dix heures à l’orée de la forêt. Elle a du avoir du mal à sortir, surtout avec Samantha comme préfète. Ça devait être le genre de fille à surveiller que tout le monde sont dans la salle commune après le couvre-feu. La vraie parfaite licheuse de bottes, quoi ! Du moins, Rebecca arrive. Lorsqu’elle s'arrête en face de moi, je ne dit que :

- Il était temps ! Il fait froid ici...

Sans attendre un mot de plus, je la serre dans ses bras rentrant mes bras sous sa cape de Poufsouffle afin de profiter un peu de sa chaleur corporelle. Enfin ! Il était bien. Reculant ma tête afin de croiser son regard, je lui fait un sourire malicieux. Elle est belle avec les rayons de lunes sur ses cheveux foncés... Dommage qu’elle soit à Poufsouffle. Au fait pourquoi, est-elle dans la maison jaune ? Pfff ! Au pire, je saurais la répondre plus tard. Toujours collée à elle, je ne déguerpis pas. Je la regarde. Soudainement, je m'approche et dépose mes lèvres sur les siennes. Pffff! Une promène pour des loups-garous?

A

*

D

« Alex , je suis sincèrement désolée de mon retard. Ma préfète ne me laissait pas sortir. Elle était vraiment... ah et puis qu'est-ce que ça peut bien me faire. Je veux profiter du moment que l'ont peut enfin être tout les deux, seuls. Ça arrive que si rarement. »

El

« Alors, tu vas bien ? Me renvoie pas la question. Tu connais la réponse. Quand je suis avec toi , je vais toujours hyper bien. »

E

Je me laisse embrassé car je ne veux pas froisser Rebecca malgré que je me sente gêné dans cette situation. Il est si rare que l'on puisse s'embrasser ainsi! Près d'une minute s'écroule alors que nous nous embrassons. Cette minutes ma semblée si... Elle a passé à la vitesse de la lumière, si vite qu'on ne peut l'atteindre même si je vole au maximum sur mon souffle de glace. J'aurais envie de rester ainsi durant des heures mais, comment tout le reste de ma vie depuis la grande révélation, il se termine. Quel domage, je l'aime tant ma p'tite brune...

Nous sommes toujours collés l'un à l'autre. Les mumures de sa douce voix crystalline résonnent dans le creux de mon oreille. Sa voix me faire rêvé, elle ressemble à la douce mélodie de la harpe que me jouait ma grand-mère lorsque j'était enfant. Rebacce me murmure des exucuses mais je ne les écoute qu'à moitiés. Ce n'est pas qu'elles ne m'interessent pas la seule chose sur laquelle est porté mon attention est le fait que nos corps se touchent de si près...

" Oh non pas ça! Tu vas arrêter de parler qu'on se lâche un peu, j'en peux plus moi. Oh merde! Je suis un gars bor***, faut jamais faire ça à un gars... Et la voilà repartie. Je l'aime bien mais elle m'exaspère parfois. Bon, je dois écouter ce qu'elle dit sinon on va rester comme ça longtemps et je jure que je ne pourras plus tenir bien... "

On était là, dans le vent très froid pour un soir de Mai à discuter tout bonnement. J'essais d'écouter ce que Rebecca me raconte. Les seuls mots que je réussit à capter affirment totalement mes craintes au sujet de Samantha Samuels, la préfète de cinquième des poufsouffles. Je savais bien qu'elle n'était qu'une pimbèche licheuse de bottes. Pour dire que ma mère la trouve bien sympatique. Je crois que je devrais lui conseiller d'aller rencontrer un psycologue, j'ai peur d'avoir une mère totalement folle avant ma septième année.

Toujours collé à la belle poufsouffle, son souffle me réchauffe le cou. Mes bras entourent sa taille je sens donc toute la chaleur de son corps en eux. Rebecca me demande comment je vais, elle précise même qu'elle ne veut pas que je lui retourne la question car avec moi, elle se sent toujours hyper bien. Elle est trop chou! Heureux de ce qu'elle viens de m'avouer, je lui répond simplement :

- Tu sais bien que je ne peux ne pas être heureux auprès de toi!

Et la voilà que m'embrasse de nouveau. Je ne m'en plains pas car ses baisers sont très bons mais, je sais que je me répète, je suis un garçon qui ne va plus tenir bien longtemps^^. Soudain, un hurlement se fait entendre. Surpris, on lâche notre étreinte et se regardent dans les yeux effrayés. Je prends la mains de Rebecca et l'entraine au travers des grands arbres noirs.